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Acceptation sociale des troubles de santé mentale depuis 1950   

Anaïs Grondin, Liliane Krause, Charles-Olivier Sarazin

    
9e mise à jour opérée vendredi 07 février 2025 sur la section biblio

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DESCRIPTION   

Introduire le sujet de la recherche :

  • Présenter votre sujet de recherche
  • Démontrer la pertinence d'étudier ce sujet (actualité, intérêt scientifique, problème ancien, urgence, etc.).
  • Annoncer l'aspect précis qui sera approfondi en formulant votre problème de recherche 
120 mots requis

Évolution de l'acceptation sociale des troubles de santé mentale depuis 1950

accident trump hélico avion : des personnes de déficience intellectuelle inclue dans la société à différents niveaux (nouvelles régulations d'inclusion)

En 1980, la partition du long métrage «The Elephant Man » par David Lynch met en lumière le jugement porté à la différence. Effectivement, cette oeuvre transmet les atrocités vécues par le personnage principal Joseph Merrick engendrée par les idéologies primitives de la société quant au phénomène « d'être normal ». Cela nous amène donc à se questionner sur l'évolution de l'acceptation sociale face aux troubles de santé mentale depuis 1950.

ÉTAT DE LA QUESTION   

En vous servant des livres et des sites consultés, poser un jugement sur la documentation disponible sur votre sujet de recherche.

  • Comment en général les livres, articles et sites web abordent-ils le sujet ? « Les sources consultées sur le sujet ont surtout étudié tel ou tel aspect... »
  • Analyser en particulier deux livres ET deux chapitres de livre ou articles sur le sujet en mentionnant : 1) l`objectif de ou des auteurs, 2) la description des sections du livre, du chapitre ou de l`article et 3) la pertinence de l`ouvrage pour votre recherche. (Inclure la référence pour chacun)
  • Identifier un angle négligé ou méconnu qui pourrait être développé dans votre recherche. « La plupart des ouvrages n`abordent pas la question de blablabla... », « La plupart des ouvrages se concentrent sur l`aspect blablabla, c`est pourquoi nous porterons notre attention sur blablabla... ».
    1000 mots

PROBLÉMATIQUE   

Débuter cette partie en faisant un lien avec l`aspect négligé ou important identifié au paragraphe précédent.
  • Enchainer en posant une question de recherche. « Nous posons par conséquent la question suivante : ... »
  • Énumérer les phénomènes qui peuvent possiblement l`expliquer (variables possibles).
  • Formuler une hypothèse impliquant une relation entre des phénomènes pour répondre à la question de recherche. Les termes utilisés doivent être clairs, univoques et neutres.
  • Clarifier, si besoin est, les mots-clés contenus dans votre hypothèse et le sens qu`ils prendront chacun dans votre recherche.
    150 mots

DESCRIPTION DES CONCEPTS   

Clarifier chacun des mots-clés contenus dans votre hypothèse et le sens qu'ils prendront chacun dans votre recherche.

Utiliser la formule consacrée: Par le mot obèse nous voulons dire toutes les personnes dont le poids est 20% supérieur au poids-santé décrit par Santé Canada...
130 mots requis.

SCHÉMA CONCEPTUEL   

En suivant les exemples des pages 52-53, identifier les concepts (variables indépendante et dépendante), les dimensions et les indicateurs.
120 mot

MÉDIAGRAPHIE COMMENTÉE   

Duflos, J., Hidri Neys, O. (2017). Déviance et société : Entre le dire et (ne pas) le faire. Les recruteurs et la fabrique des discriminations selon l’apparence physique (Volume 41(4)), pages 566 à 592. Repéré à Entre le dire et (ne pas) le faire. Les recruteurs et la fabrique des discriminations selon l’apparence physique | Cairn.info

La revue Déviance et société comme telle n’est pas pertinente à notre recherche, mais l’article « Entre le dire et (ne pas) le faire. Les recruteurs et la fabrique des discrimination selon l’apparence physique », lui, l’est. Il a été écrit par deux professeurs universitaires, Omaya Hidri Neys et Julie Duflos, travaillant respectivement pour les universités d’Artois et Polytechnique Hauts de France. Comme l’article a été écrit en 2017, il est encore suffisamment d’actualité pour être considéré dans notre projet. Leur recherche commence par l’évolution du cadre législatif français par rapport à la discrimination lors de l’embauche, citant notamment la loi du 16 novembre 2001 : « aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement […] en raison […] de son apparence physique ». De plus, selon le cadre légal de la France, les discriminations sont définies par « des inégalités illégitimes déclarées illégales ». De montrer un tel encadrement et point de vue négatif sur la discrimination au moment de l’embauche appuie notre point que c’est un problème sociétal qui a évolué, ayant eu une telle importance par le passé qu’une régulation a dû être posée, et donc que la situation a changé. Ensuite, les professeurs placent l’apparence physique au centre de tout processus de communication, puisqu’elle repose sur le langage et la communication non verbale. Ils nomment d’ailleurs que « l’apparence physique s’impose, « saute aux yeux » et ne peut être dissimulée aux employeurs potentiels ». La statistique suivante est d’ailleurs très intéressante pour prouver la validité de notre projet de recherche : « L’apparence physique est le critère évoqué par 29% des demandeurs d’emploi ayant vécu une discrimination, critère majoritairement cité pour décrire leurs expériences de discrimination à l’embauche ». Les auteurs font ensuite des liens entre l’apparence physique, la discrimination et le marché du travail, en plus d’identifier des acteurs de la régulation des comportements discriminatoires. Les auteurs ont mené plusieurs enquêtes pour déterminer l’origine de la discrimination au moment de l’embauche, en plus des raisons pour lesquelles elle existe encore malgré les régulations. Ils se penchent sur la sociologie du recrutement et découvrent que les comportements discriminatoires non rationnels sont des résultats de représentations infériorisantes erronées. Les conduites discriminatoires selon l’apparence physique pouvaient se développer à l’insu des acteurs. Enfin, l’article est très pertinent pour notre recherche puisqu’il nous permet d’identifier des acteurs, des causes, en plus de survoler l’évolution de la problématique.


https://cairn-clanaudiere.proxy.collecto.ca/revue-le-sujet-dans-la-cite-2015-2-page-140?lang=fr

La revue Le sujet dans la cité ne semble pas pertinent dans sa globalité pour notre recherche portant sur l’impact de la différence physique. Par contre, il y a l’article dans la revue N.6 qui se nomme Être une fille, un gay, une lesbienne ou un.e trans au collège et au lycée, publié en 2016 par 2 coécrivains de l’Université de Bordeaux, Johanna Dagorn et Arnaud Alessandrin peuvent amener un angle de vue intéressant sur la transphobie et les répercussions que ce type de discriminations a sur autrui. De cette façon, ils ont démontrer la pertinence du continuum avec les formes de discriminations en lien avec l’identité.



 



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