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Comment la loi a défini la normalité aux niveau psychologique avec les années ?   

Adam Darij

Hansly Pantal

Zachary Leclerc

Emile Lacoste


    
62e mise à jour opérée mardi 18 mars 2025 sur la section chercheurs

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DESCRIPTION   


La normalité du comportement humain, c’est lorsqu’un agissement humain est perçu comme étant « normal » ou « acceptable » par la société. Cela varie selon les cultures, les époques et les normes sociales. Avec cette définition, les gens jugent les comportements des autres en fonction de ce qu'ils pensent être  normal, ce qui influence leurs interactions.Par exemple, quelqu’un qui n’agit pas en fonction des attentes sociales peut être vu comme étant quelqu'un d'asocial et, par conséquent, être marginalisé par les gens. Ce sujet est important car, la diversité, l'équité et l'inclusion sont des idées  qui ont  pris beaucoup d'ampleur  dans notre société au fil des dernières années. Cette recherche se concentrera sur la façon dont les idées de normalité influencent nos jugements et nos relations avec les autres.

ÉTAT DE LA QUESTION   

En vous servant des livres et des sites consultés, poser un jugement sur la documentation disponible sur votre sujet de recherche.

  • Comment en général les livres, articles et sites web abordent-ils le sujet ? « Les sources consultées sur le sujet ont surtout étudié tel ou tel aspect... »
  • Analyser en particulier deux livres ET deux chapitres de livre ou articles sur le sujet en mentionnant : 1) l`objectif de ou des auteurs, 2) la description des sections du livre, du chapitre ou de l`article et 3) la pertinence de l`ouvrage pour votre recherche. (Inclure la référence pour chacun)
  • Identifier un angle négligé ou méconnu qui pourrait être développé dans votre recherche. « La plupart des ouvrages n`abordent pas la question de blablabla... », « La plupart des ouvrages se concentrent sur l`aspect blablabla, c`est pourquoi nous porterons notre attention sur blablabla... ».
    1000 mots

PROBLÉMATIQUE   


DESCRIPTION DES CONCEPTS   

Clarifier chacun des mots-clés contenus dans votre hypothèse et le sens qu'ils prendront chacun dans votre recherche.

Utiliser la formule consacrée: Par le mot obèse nous voulons dire toutes les personnes dont le poids est 20% supérieur au poids-santé décrit par Santé Canada...
130 mots requis.

SCHÉMA CONCEPTUEL   

En suivant les exemples des pages 52-53, identifier les concepts (variables indépendante et dépendante), les dimensions et les indicateurs.
120 mot

MÉDIAGRAPHIE COMMENTÉE   

Canguilhem, G. (2013). Le normal et le pathologique. https://doi.org/10.3917/puf.cangu.2013.01

Comme l’a souligné Canguilhem, la normalité n’est ni une entité universelle ni une notion figée. Elle varie selon le temps, la société et les individus. En médecine, elle est souvent décrite de manière statistique, par des moyennes, comme la pression artérielle. Cependant, Canguilhem s’oppose à cette vision. Être normal ne signifie pas appartenir à une moyenne, mais être capable d’une activité normative : s’adapter et créer de nouvelles normes. Canguilhem défend ainsi une conception dynamique de la normalité : ce qui est normal n’est pas un état fixe, mais une capacité à se transformer et à évoluer. Il invite ainsi à repenser la définition de la santé, de la maladie et de la différence en célébrant la diversité humaine.

L’auteur a participer à nombreux ouvrages portant sur le comportement d’avant face à aujourd’hui, ce qui le rend plus que pertinant dans notre recherche. Également, cette source est pertinente puisque qu’elle nous donne un avis de ce que les gens considèrent « pas normal », mais aussi la source nous donne des informations sur comment éviter ce genre de distinction.

//Adam

Labrecque-Lebeau, L. (2022). De l’envers à l’endroit : pour une sociologie de la normalité. Cahiers de recherche sociologique, (72), 61–74. https://doi.org/10.7202/1112384ar

Dans l’article de Lissandre Labrecque-Lebeau, elle propose une réflexion sur la normalité en réponse à la sociologie de la déviance. L’auteure explore la façon dont l’analyse sociologique des normes, souvent abordée par leur « envers » (les comportements déviants), peut être enrichie par une étude directe sur des normes elles-mêmes et de la conformité. Elle discute de son parcours personnel, de l’évolution de la notion de normalité et des défis actuels dans l’étude des normes sociales, en intégrant des perspectives transversales sur différents groupes sociaux.

Lissandre Labrecque-Lebeau est sociologue, chercheure universitaire en milieu de pratique au Centre de recherche de Montréal sur les inégalités sociales, les discriminations et les pratiques alternatives de citoyenneté (CREMIS) et professeure affiliée à l’Université du Québec en Outaouais (UQO).

//Adam

La normalisation est une perception de l’augmentation de l’influence médicale dans l’évaluation des actes. Si les travaux classiques de Georges Canguilhem et Michel Foucault sont surcités dans ce texte, il est possible de réfléchir non seulement à la variation des normes, mais également à la mise en place des nouvelles, qui aide à identifier les symptômes de ce que nous appelons la pathologie à l’heure actuelle.

https://www.jstor.org/stable/24279498

//Adam

Melman explore la normalité chez l’homme. Plus spécifiquement, il décrit comment la société donne une définition de ce qui est perçu comme normal ou pathologique. En outre, Melman utilise un vocabulaire psychanalytique pour discuter des mécanismes de ces définitions. Il attire également l’attention sur les implications de ces définitions concernant les pratiques cliniques et l’approche des pathologies mentales. Melman fait voir que la distinction entre la normal et le pathologique est souvent floue. Cela signifie qu’il est possible que Melman remet en question cette distinction.

https://shs.cairn.info/revue-journal-francais-de-psychiatrie-2006-4-page-6?lang=fr

//Adam

Stiker, H. (2023) . Préalable?: de la normalité. Au-delà de l’opposition valide et handicapé. ( p. 7 -15 ). érès. https://shs.cairn.info/au-dela-de-l-opposition-valide-et-handicape--9782749278049-page-7?lang=fr.

Stiker exprime la façon dont la société définit la norme et l’impact que cette déclaration a sur la manière dont elle perçoit le handicap. Stiker s’écarte de la dichotomie démodée entre les personnes qu’il considère comme physiquement aptes et celles qu’il géolocalise dans la catégorie du handicap et expose une compréhension plus délicate de l’invalidité. Stiker suggère une perspective de la norme plus diversifiée et plus approfondie que la binarité vague. L’article peut aborder d’autres questions sociales, philosophiques et politiques.

//Adam

https://www.erudit.org/en/journals/smq/2005-v30-n2-smq1031/012137ar/abstract/



En premier lieu, dans cet article, nous avons cherché à mieux situer le concept de soutien social dans le vaste champ des relations sociales. Deuxièmement, nous avons présenté des modèles théoriques qui expliquent pourquoi le soutien social est important pour les personnes pour maintenir leur santé mentale. Troisièmement, j’ai discuté des mesures de soutien social, des valeurs et des principaux instruments de valeur que nous avons faites pour comprendre le concept.Des recherches récentes sont ensuite utilisées pour illustrer davantage les liens identifiés entre la santé mentale et le soutien social dans les enquêtes de la population et dans les enquêtes cliniques. Enfin, les auteurs passent en revue plusieurs interventions favorisant la croissance du soutien social et formulent des recommandations pour les cliniciens.

//

Gardou, C., & Pawloff, S. (2015). Une anthropologie du mal : le manque, le mal et leurs déclinaisons. Empan, (2), 139-145. https://shs.cairn.info/revue-empan-2015-2-page-139

L’article « Une anthropologie du mal : le manque, le mal et leurs déclinaisons. Le cas de l’éducation spécialisée »parle de la façon dont les humains voient la normalité. L’auteur explique que chaque société décide de ce qui est « normal » et de ce qui ne l’est pas. Par exemple, les personnes qui ont des handicaps ou des maladies peuvent être considérées comme « différentes », même si elles font simplement partie de la diversité humaine.

L’éducation spécialisée existe pour aider ces personnes à mieux vivre dans une société qui, souvent, ne les comprend pas bien. L’article montre aussi que la définition de la normalité change avec le temps. Ce qui était vu comme un problème avant peut être accepté aujourd’hui. La normalité est donc une idée qui dépend de l’époque et de la culture.

//Hansly


Weber, I. (2023). Être soi Une quête essentielle au service du monde. https://shs.cairn.info/etre-soi-une-quete-essentielle-au-service-du-monde--9782072990304?lang=fr.

Dans « La pathologie de la normalité », Inès Weber explique que la société impose des règles sur ce qui est « normal », ce qui pousse les gens à se conformer plutôt qu’à être eux-mêmes. Cette pression peut causer du mal-être, car elle empêche l’expression de notre vraie identité. Elle critique aussi comment les entreprises exploitent cette envie d’authenticité en en faisant un produit à vendre. Selon elle, la meilleure façon de s’en libérer est d’apprendre à mieux se connaître et à suivre son propre chemin.

// Hansly

Canguilhem, G. (2013). Le normal et le pathologique. https://doi.org/10.3917/puf.cangu.2013.01.

Dans « La question du normal et du pathologique », l’auteur explique que ce qui est considéré comme normal ou anormal dépend des époques et des sociétés. Ce qui semble « normal » aujourd’hui ne l’était pas forcément avant, et inversement. Il montre aussi que la médecine ne peut pas toujours dire clairement où se trouve la limite entre être en bonne santé et être malade, car cela change selon les situations et les personnes. En gros, la normalité n’est pas une règle fixe, mais quelque chose qui évolue avec le temps et la culture.

//hansly



Troubles psychiques et comportements problèmes : mieux comprendre pour mieux accompagner. (2023). Les Cahiers de l’Actif564567, (5). https://shs.cairn.info/revue-cahiers-de-l-actif-2023-5?lang=fr.


Le livre « Troubles psychiques et comportements problèmes » explique que les troubles psychiques peuvent rendre les interactions sociales difficiles. Par exemple, des troubles comme l’anxiété ou l’autisme peuvent provoquer des comportements incompris, mais ce ne sont pas des signes de mauvaise volonté. L’important est de comprendre ces troubles pour mieux aider les personnes à vivre dans la société.

//hansly

//z

Au XIXe siècle, l’internement des malades mentaux à Paris repose sur des critères mêlant considérations médicales et contrôle social. La loi de 1838 établit une distinction entre internement volontaire et d’office, ce dernier étant souvent justifié par le niveau de danger supposée du patient ou son manque d'habilité à vivre en société. Cependant, l’internement touche aussi des individus marginalisés, les personnes jugées déviantes. La psychiatrie naissante tente de différencier les aliénés des criminels, mais cette frontière reste floue, et de nombreux internements reposent sur des diagnostics vagues ou des pressions familiales. Perçus avec peur et méfiance, les malades mentaux sont souvent enfermés moins pour être soignés que pour être écartés de la société, faisant des asiles des lieux où se confondent traitement médical et répression sociale.

Haustgen, T. (2013). Les archives et l’histoire de la psychiatrie. 2e partie?: L’hospitalisation des malades mentaux à Paris au XIXe siècle. PSN, 11(4), 55?82. https://doi.org/10.3917/psn.114.0055

//z

En psychiatrie, soigner un patient sans son consentement est une pratique spécifique qui concerne chaque année environ 80 000 personnes en France. Les lois de 2011 et 2013 ont modifié ce cadre particulier en renforçant les droits des patients et en instaurant un contrôle judiciaire systématique, tout en visant aussi à protéger la société de certains comportements liés aux troubles mentaux. Cet ouvrage explore les règles encadrant ces soins, leur évolution, ainsi que les décisions de justice associées, en s’appuyant sur la médecine psychiatrique et les bonnes pratiques. Il met en avant une approche plus respectueuse des patients et s’adresse aux étudiants, professionnels et usagers des structures psychiatriques.

Dupont, M., Laguerre, A., & Volpe, A. (2015). Soins sans consentement en psychiatrie. Comprendre pour bien traiter. Presses de l’EHESP. https://doi.org/10.3917/ehesp.dupon.2015.01

//z

L’ouvrage « États de la psychiatrie publique » offre une analyse approfondie, complète et détaillée de l’évolution et des enjeux actuels auxquels est confrontée la psychiatrie publique en France. Il envisage celles-ci à plusieurs niveaux – mutations institutionnelles, politiques du traitement de la maladie mentale, pratiques cliniques – mais c’est bien sur le plan des pratiques de soins quotidiennes que les individus souffrants des manifestations de la maladie (et leurs proches) peuvent apprécier la qualité de l’ouvrage. On y trouve ainsi des informations très précieuses et des analyses stimulantes postulées sur l’état des soins en psychiatrie, sous-tendues par le constat que les bienfaits escomptés des multiples prises de parole de la société sur le sujet ont longtemps tu. C’est le résultat de passages difficilement quantifiables avançant, tout au long de l’ouvrage, la thèse de la dégradation générale des soins dans le secteur public & dont les conséquences sur les patients se font cruellement sentir, avec effroi et lucidité. Bénéficier de plusieurs interventions pour proclamer son intime conviction ne va peut-être pas dans le bon sens sur un plan argumentaire, mais le nombre et la diversité des situations cliniques (issus de l’expérience des membres du collectif) rapportés et documentés dans le texte, confisquent à son auteur tout espoir de crédibilité en la matière. Et dès lors de ses parties les plus sombres sur l’hôpital (les cons radicaux des anciennes et nouvelles lois/les ressources drastiquement amputées dévolues à la réanimation hospitalière publique) à ses perspectives plus fleuries sur le décloisonnement de la psychiatrie ou la non moins urgente ouverture des espaces patients et proches/soignants à une rénovation enfin entamée, la lecture ne peut laisser le lecteur neutre…

L’information psychiatrique 2011/10 (Volume 87). (s. d.). STM Cairn.info. Consulté 15 février 2025, à l’adresse https://stm.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2011-10

//Émile

Considérations sur l'orientation de la psychologie dans la criminologie actuelle

L'article intitulé "Considérations sur l'orientation de la psychologie dans la criminologie actuelle", rédigé par Lode Walgrave et publié en 1980, examine l'intégration de la psychologie au sein du champ de la criminologie. Walgrave préconise une approche interactionniste, mettant en exergue l'importance d'appréhender les interactions entre l'individu et son environnement social pour mieux comprendre les comportements criminels. Il critique les perspectives réductionnistes qui attribuent la criminalité uniquement à des facteurs biologiques ou psychologiques, soulignant ainsi la nécessité d'adopter une approche multidimensionnelle. L'auteur aborde également les critiques formulées à l'encontre de l'interactionnisme, notamment celles relatives aux difficultés rencontrées pour mesurer les influences réciproques entre l'individu et son environnement. En conclusion, Walgrave propose de nouveaux fondements pour la psychologie criminologique, incitant à une collaboration interdisciplinaire afin d'obtenir une compréhension plus approfondie des phénomènes criminels.

https://www.persee.fr/doc/ds_0378-7931_1980_num_4_4_1056


//Émile

Les influences disciplinaires de la criminologie (1991-2014)

L'article intitulé "Les influences disciplinaires de la criminologie (1991-2014)" écrit par France Nadeau, Philippe Mongeon et Vincent Larivière, publié en 2018, explore comment les influences provenant de diverses disciplines ont changé dans le domaine de la criminologie durant cette période. Les auteurs ont analysé les références mentionnées dans un ensemble de revues de criminologie, principalement en anglais, de 1991 à 2014.Les findings indiquent qu'il y a eu une augmentation significative de l'interdisciplinarité, avec 65 % des articles de 2014 citant plus de trois disciplines différentes. La psychologie apparaît comme une discipline de plus en plus influente, au détriment des domaines des sciences sociales et du droit. Concernant les types de revues, 42 % sont interdisciplinaires, 22 % présentent une perspective sociocriminologique, 22 % se concentrent sur la psychologie, et 4 % touchent au droit. L'examen des réseaux de citations montre que les revues majeures dans ce champ affichent une gamme variée d'influences disciplinaires, intégrant des points de vue provenant de la criminologie, des sciences sociales et de la psychologie.Cette recherche révèle la transition de la criminologie vers une méthode plus intégrée, illustrant une plus grande réceptivité aux visions de différentes disciplines.

Nadeau, F., Mongeon, P. & Larivière, V. (2018). Les influences disciplinaires de la criminologie (1991-2014). Criminologie51(1), 17–53. https://doi.org/10.7202/1045307ar


//Émile

Troubles mentaux et violence

L'article de Frédéric Millaud de 1996 « Mental Disorders and Violence » dans la revue Criminology explore la relation entre les troubles mentaux et les comportements violents. Il présente des études épidémiologiques et cliniques portant sur des patients atteints de troubles mentaux ayant des antécédents de comportement violent. L’objectif est de mettre en évidence les facteurs de risque associés à ces comportements afin de développer des programmes de prévention efficaces. Les auteurs décrivent également des stratégies d'intervention pour gérer la violence chez les patients souffrant de psychose.

Millaud, F. (1996). Troubles mentaux et violence. Criminologie29(1), 7–23. https://doi.org/10.7202/017378ar


//Émile


Dangerosité et maladie mentale

Les auteurs analysent l'évolution historique du concept de dangerosité, en mettant en lumière ses relations fluctuantes avec la psychiatrie. Ils notent que, bien que la dangerosité soit fréquemment associée à la maladie mentale, elle s'étend au-delà du domaine médical pour s'inscrire dans un cadre social et juridique plus vaste. L'article traite également des difficultés liées à l'évaluation de la dangerosité chez les individus souffrant de psychose, en soulignant les limites des outils de diagnostic actuels et la subjectivité qui caractérise ces évaluations. Les auteurs insistent sur l'importance pour les psychiatres, les avocats et d'autres professionnels de la santé de privilégier une approche multidisciplinaire et de collaborer étroitement afin d'assurer une prise en charge adéquate des patients jugés dangereux. Enfin, l'article aborde les enjeux éthiques et juridiques liés à la prise en charge des patients à risque, en mettant l'accent sur la nécessité de respecter les droits individuels tout en protégeant la société.

Gheorghiev, C., Raffray, P.et De Montleau, F(2008) . Dangerosité et maladie mentale. L'information psychiatrique, Volume 84(10), 941-947. https://doi.org/10.1684/ipe.2008.0415.



 



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