Suite à nos lectures, nous avons constaté que les avis des chercheurs sur la problématique liée à la contraceptions découlaient surtout des luttes féminines et de l'évolution de ce concept.
D'après Mathilde Larrère, depuis son apparition, les perceptions de ce sujet varie selon les générations et les groupes sociaux. À l'époque, la reproduction était une valeur mise de l'avant par la religion et l'État ce qui faisait en sorte que la contraception n'était pas d'actualité à cette époque. De génération en génération, les femmes transmettaient leurs valeurs reproductives à leurs descendance ce qui faisait en sorte que cette idéologie a persisté dans le temps. Dans le temps, réduire la quantité de naissance pourrait être une problématique économique puisque les familles importantes cherchaient à protéger leur héritage. Un événement qui aurait eu un impact significatif sur les changements de pensées vis-à-vis la contraception serait les lois Ferry de 1881-1882. Ces lois impliquait que les enfants, dorénavant obligatoirement scolarisés, coûtaient plus chers. Les idées concernant la contraception ont immédiatement prit un autre tournant étant donné que les familles souhaitaient diminuer leurs taux de naissances.
Après cet événement significatif, il y eu de nombreuses luttes féminines importantes opposant la femmes et ses décisions à l'État et le contrôle qu'il à par rapport à ce sujet. Les féministe militent pour leur droit de choisir si oui ou non elles veulent avoir des enfants, mais elles sont confrontées à de nombreuses pression sociales et politiques. Les revendications ont pour but de ne plus obligé la maternité, mais de laissée la femme choisir si elle a envie d'être mère ou pas.
En montrant qu'avant, la contraception était beaucoup plus masculine, donc mettait de l'avant le retrait, l'abstinence et les préservatifs, nous comprenons qu'il y a eu une transition puisqu'elle est devenue davantage féminine. Le stérilet, la pilule contraceptive, le diaphragme, la cape vaginale et l'implant contraceptif sont des méthodes contraceptives qui ont fait leur apparition plus tard, mais qui ont eu de la difficulté à être accepté par l'État et par la société.La pilule contraceptive a été légalisée seulement en 1980. Elle a un fort symbole concernant l'émancipation de la femme, mais elle reste aujourd'hui un débat d'actualité puisque les femmes remettent en question ses bienfaits. Elles se posent des questions concernant les dangers que celle-ci peut avoir sur leur santé physique et psychologique.
L'objectif de l'auteure est de raconter l'évolution de la contraception en mettant de l'avant les luttes autour du contrôle du corps de la femme ainsi que sur leurs choix reproductifs. Elle met de l'avant les conflits entre l'État, les médecins et les femmes. La principale visée de ce chapitre est surtout de montrer comment les femmes ont, petit à petit prit le contrôle sur leur corps et sur la question de reproduction tout en devant accepter les pressions socio-politiques. Elle voulait également souligné comment la contraception est passée de masculine à féminine et à quelle point elle a été importante dans l'émancipation de la femme.
D'après les auteures de l'article de revue Cinquante ans de contraception légale en France, la situation de la contraception est différente en France que dans les autres pays. Depuis sa légalisation, suite à la loi de Neuwirth, la pilule contraceptive reste la méthode contraceptive la plus utilisée dans ce pays. L'accessibilté actuelle de la contraception en France est très forte. Ce n'est tout de fois pas le même cas dans des pays comme l'Irak et la Mozambique où les femmes qui veulent utilisé des méthodes de contraception n'ont pas ou peu l'accès à celles-ci. Les auteurs parlent du fait que dans le monde entier, la stérilisation est la méthode contraceptive la plus courante et que la pilule arrive à la troisième position.
Par rapport à l'histoire, les couples voulant éviter la fécondité ont recours au retrait au début du 20e siècle puisque d'autres méthodes sont interdites.La contraception autrefois traditionnelle, se tourne vers des méthodes plus modernes. L'apparition de la pilule au États-Unis ne prendras pas beaucoup de temps pour arriver en Europe. Elle est légalisée en 1967 et est prescrit par des médecin afin de contrôlée les naissances et les cycles menstruels. Cela a en grande partie aidé la femme dans son émancipation puisqu'elle a dorénavant le pouvoir de contrôlé leurs corps et de prendre les décisions qui vont avec. Des épidémies de maladies transmises sexuellement vers la fin du 20e siècle on tout de fois rendu le préservatif masculin beaucoup plus populaires puisqu'il permet de se protéger non seulement contre les ITSS, mais aussi permet de ne pas nécéssairement avoir de fécondité. Cependant, il est souligné que les couples plus âgés ont plus recours aux pratiques contraceptives traditionnelles comme le retrait, et que les jeunes couples utilisent des moyens de contraceptions comme la pilule,le DIU et le préservatif.
Il y a actuellement plusieurs questionnement par rapport aux pilules contraceptives surtout depuis la «crise de la pilule», de 2010 à 2013, où on assiste à des changements dans les façons de penser des femmes concernant cette méthode. Elles se tournent vers d'autres méthodes comme le DIU et le préservatif.
L'objectif des auteurs dans cet article était de présenter l'évolution dans l'histoire des méthodes contraceptives en France tout en faisant un parallèle avec les autres pays pour établir une comparaison. Ils voulaient également présenter les changements ainsi que les façon de penser sur cette méthode puisqu'elle est, encore aujourd'hui, très controversée.
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