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Une comparaison de la consommation de drogue avant les années 2000 et après celles-ci.   

Amélia Tricot

Jean-Nicolas Fortin


    
61e mise à jour opérée jeudi 27 février 2025 sur la section plan

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DESCRIPTION   

Plusieurs drogues chimiques, depuis deux siècles, tel que la morphine et la cocaïne ont fait leur apparition sur le marché médical et ensuite sur le marché noir, mais lesquelles ont eu des répercussions majeures sur les populations d'Amérique du Nord ? Dans les années 80, la vente illégale du crack à vécu ses débuts à Los Angeles puis a commencer à envahir tout le reste des États-Unis et a continué son chemin jusqu'au Canada. De nos jours, nous vivons une crise des opioïdes en raison de la surprescription généralisée de médicaments opioïdes pour soulager la douleur. En raison de cet accès simple, cette catégorie de médicaments s'est écoulée dans les rues. Nous comparerons donc les aspects de ses différentes consommations et leurs effets sur les populations d'Amérique du Nord.


RECENSION DES ÉCRITS   

En ce qui concerne la consommation de drogue dans les années 80, plusieurs articles nous permettent de mieux le phénomène la consommation de drogue qui était banalisée dans ces années. Malgré, des lois mises en place la vente et la consommation de drogue n’a cessé d’augmenter, au fil du temps. On peut constater cette augmenter surtout chez les jeunes. Les personnes qui étaient impliquées dans des actes criminels était plus prédisposer à consommer que les honnêtes québécois.

 Dans les années 80, plusieurs drogues ont gagnées de la popularité. En effet, la consommation de drogue prenait de plus en plus d’ampleur aux États-Unis, que ce soit de la cocaïne ou du cannabis. Cependant, ce n'est pas qu’aux États-Unis que ces types de drogue sont dans les rues. Selon l'article écrit par Serge Brochu :  Les drogues et les questions criminelles, il y aurait une relation entre criminel et stupéfiant. En effet, le 31 décembre 1994, il y avait 2 540 délinquants incarcérés dans les établissements fédéraux pour des infractions reliées à la drogue. Malgré le nombre imposant d’arrestations et de condamnations, les lois, elles seules, semblaient incapable d'arrêter la consommation des drogues dans le milieu pénitencier. Serge Brochu affirme que les centres de détention nord-américains accueillent plus de toxicomanes que les centres de réadaptation. On peut donc conclure que la drogue est très présente dans les prisons. On dit que les trois quarts des détenus ont consommé une drogue illicite au moins cinq fois dans leur vie et seulement quatre Québécois sur dix affirment avoir consommé de telles substances. Il y a une grande différence entre les deux taux. En effet, plus de la moitié des détenus consomme déjà des drogues avant même d'arrivé dans le système pénitencier, mais ce n'est pas avec l'incarcération des vendeurs de drogues illicites que le problème est résolu. Au contraire, les mettre en détention contribue à un environnement encore plus propice au commerce de la drogue ainsi que la consommation. En 1993-1994, au moins neuf détenus sont décédés pour des rai sons liées à la consommation de drogues. Bref, il y a une corrélation entre les drogues illicites et les centres de détentions. L’objectif de l'auteur est pour confirmer la croyance de certaines personnes en affirmant que dans les prisons la drogue circule et elle est un danger pour ces utilisateurs.  Par la suite, l’article « Estimations expérimentales de la consommation de cannabis au Canada, de 1960 à 2015 » écrit par Ryan Macdonald et Michelle Rotermann, aborde plusieurs aspects de la consommation de cannabis au Canada entre les années 1960 et 2015. En 2017, le gouvernement du Canada a déposé un projet de loi sur la légalisation du cannabis, une décision qui aura beaucoup d'impact sur les données de cette consommation. Une méthode est mise en place par statistique Canada afin de prélever de nombre de tonne de cannabis qui est consommer chaque année. Il est important que les données soient en n'ordre chronologique afin que les chercheurs puissent en tirer des conclusions. Par exemple, si la consommation a augmenté ou diminué. Dans cet article de statistique canada on peut rapidement remarquer que chiffres sont associer à un groupe d'âge. Il n'est pas question de statut social ou autre. Les groupes d'âge utiliser sont 15-17 ans,18-24ans,25-44 ans et 45-64 ans. Plusieurs enquêtes sont faites par différent organisme pour amasser le plus de donnée possible. En effet, Dans la section de l'article de détermination des taux étalonnés et corrigés de consommation de cannabis pour le Canada. Il est dit qu'il y a eu une augmentation de consommation rapide de cannabis chez les jeunes à la fin des années 1960 et au début des année 1970. Au début des années 90, ils constatent une diminution de la consommation. Cependant, au cours de la même année celle-ci va réaugmenter la tendance est plus claire pour les jeunes de 15-17 ans que les 18-24 ans probablement dû à la disponibilité des ressources. Pour la consommation des 25-44ans elle commence très doucement au début des années 1970 et s'accroit au fil du temps. Le rythme est le même pour les 45-64 ans. Statistique Canada affirme qu'il peut avoir des fluctuations annuelles dans les statistiques. « Les résultats indiquent que l’activité associée au cannabis dans les premières années observées (de?1960 à?1980) est un marché de jeunes. Cependant, au milieu de cette période, l’effet de la croissance de la consommation chez les personnes de 25 à?44?ans commence à déplacer le marché vers les groupes d’âge supérieurs ». Bref, la consommation de cannabis à commencer très tôt et surtout chez les jeunes de 15-17 ans. L'objectif des auteurs est de démonter la consommation de cannabis au Canada et qu'elle a eu des fluctuations dans le temps, mais n'a jamais stopper.?


En ce qui concerne la consommation de drogue dans les années 80, plusieurs articles nous permettent de mieux le phénomène la consommation de drogue qui était banalisée dans ces années. Malgré, des lois mises en place la vente et la consommation de drogue n’a cessé d’augmenter, au fil du temps. On peut constater cette augmenter surtout chez les jeunes. Les personnes qui étaient impliquées dans des actes criminels était plus prédisposer à consommer que les honnêtes québécois.

 Dans les années 80, plusieurs drogues ont gagnées de la popularité. En effet, la consommation de drogue prenait de plus en plus d’ampleur aux États-Unis, que ce soit de la cocaïne ou du cannabis. Cependant, ce n'est pas qu’aux États-Unis que ces types de drogue sont dans les rues. Selon l'article écrit par Serge Brochu :  Les drogues et les questions criminelles, il y aurait une relation entre criminel et stupéfiant. En effet, le 31 décembre 1994, il y avait 2 540 délinquants incarcérés dans les établissements fédéraux pour des infractions reliées à la drogue. Malgré le nombre imposant d’arrestations et de condamnations, les lois, elles seules, semblaient incapable d'arrêter la consommation des drogues dans le milieu pénitencier. Serge Brochu affirme que les centres de détention nord-américains accueillent plus de toxicomanes que les centres de réadaptation. On peut donc conclure que la drogue est très présente dans les prisons. On dit que les trois quarts des détenus ont consommé une drogue illicite au moins cinq fois dans leur vie et seulement quatre Québécois sur dix affirment avoir consommé de telles substances. Il y a une grande différence entre les deux taux. En effet, plus de la moitié des détenus consomme déjà des drogues avant même d'arrivé dans le système pénitencier, mais ce n'est pas avec l'incarcération des vendeurs de drogues illicites que le problème est résolu. Au contraire, les mettre en détention contribue à un environnement encore plus propice au commerce de la drogue ainsi que la consommation. En 1993-1994, au moins neuf détenus sont décédés pour des rai sons liées à la consommation de drogues. Bref, il y a une corrélation entre les drogues illicites et les centres de détentions. L’objectif de l'auteur est pour confirmer la croyance de certaines personnes en affirmant que dans les prisons la drogue circule et elle est un danger pour ces utilisateurs.  Par la suite, l’article « Estimations expérimentales de la consommation de cannabis au Canada, de 1960 à 2015 » écrit par Ryan Macdonald et Michelle Rotermann, aborde plusieurs aspects de la consommation de cannabis au Canada entre les années 1960 et 2015. En 2017, le gouvernement du Canada a déposé un projet de loi sur la légalisation du cannabis, une décision qui aura beaucoup d'impact sur les données de cette consommation. Une méthode est mise en place par statistique Canada afin de prélever de nombre de tonne de cannabis qui est consommer chaque année. Il est important que les données soient en n'ordre chronologique afin que les chercheurs puissent en tirer des conclusions. Par exemple, si la consommation a augmenté ou diminué. Dans cet article de statistique canada on peut rapidement remarquer que chiffres sont associer à un groupe d'âge. Il n'est pas question de statut social ou autre. Les groupes d'âge utiliser sont 15-17 ans,18-24ans,25-44 ans et 45-64 ans. Plusieurs enquêtes sont faites par différent organisme pour amasser le plus de donnée possible. En effet, Dans la section de l'article de détermination des taux étalonnés et corrigés de consommation de cannabis pour le Canada. Il est dit qu'il y a eu une augmentation de consommation rapide de cannabis chez les jeunes à la fin des années 1960 et au début des année 1970. Au début des années 90, ils constatent une diminution de la consommation. Cependant, au cours de la même année celle-ci va réaugmenter la tendance est plus claire pour les jeunes de 15-17 ans que les 18-24 ans probablement dû à la disponibilité des ressources. Pour la consommation des 25-44ans elle commence très doucement au début des années 1970 et s'accroit au fil du temps. Le rythme est le même pour les 45-64 ans. Statistique Canada affirme qu'il peut avoir des fluctuations annuelles dans les statistiques. « Les résultats indiquent que l’activité associée au cannabis dans les premières années observées (de?1960 à?1980) est un marché de jeunes. Cependant, au milieu de cette période, l’effet de la croissance de la consommation chez les personnes de 25 à?44?ans commence à déplacer le marché vers les groupes d’âge supérieurs ». Bref, la consommation de cannabis à commencer très tôt et surtout chez les jeunes de 15-17 ans. L'objectif des auteurs est de démonter la consommation de cannabis au Canada et qu'elle a eu des fluctuations dans le temps, mais n'a jamais stopper.? 



PROBLÉMATIQUE   

Comme mentionné précédemment, les décès causés par surdose de drogue est un gros problème. Nous posons par conséquent la question suivante : « Est-ce que les nombres de décès liés à la consommation de dogues a augmenté après les années 2000 ? » Dans les années 80, le cannabis étaient la drogue la plus présente dans les rues. Cette consommation était présente chez tous les groupes d’âges et elle variait beaucoup d’années en années. En effet, cette consommation commençait très tôt chez les jeunes de 15 à 17 ans. Ensuite, les 25 à 44 ans suivaient la tendance ainsi que les 45 à 65 ans. De plus, la majorité des personnes qui consommaient étaient des criminels au lieu que de simples citoyens, puisque cette drogue était illégale. Après les années 2000, un gros changement a lieu. En effet, plusieurs autres drogues, maintenant chimiques, font leur apparition dans le marché illégal. Les personnes sont passé du cannabis aux drogues dures comme le fentanyl ou l’héroïne. De plus, la consommation s’est généralisée, au lieu que ce soient majoritairement les criminels qui consomment. Dans le Nord-Ouest du Canada, ce sont majoritairement les hommes d’âge moyenne qui meurent de surdose tandis qu’à l’Est du Canada, ce sont les femmes d’âge moyenne. En revanche, pour les Premières Nations, les cas de décès sont majoritairement chez les 15 à 20 ans. Enfin, aucun cas de décès était mentionné dans les articles sur les consommations avant les années 2000 alors qu’après celles-ci, des centaines de milliers de morts sont mentionnés dans les articles. Nous pensons donc que les nouvelles drogues chimiques sont la cause de la majorité des décès de surdose.

 


DESCRIPTION DES CONCEPTS   

Les drogues chimiques ne sont pas des substances naturelles, mais une association de molécules chimiques synthétisées 


PLAN   

 Les consommations de drogues chimiques causent des centaines de milliers de décès.

Variable dépendante : les décès 

Variable  indépendante : les consommations de drogues chimiques 

Dimensions: Caractéristiques individuelles, la démographie, la cause 

Indicateurs : l’âge, le sexe, ethnicité, les territoires, la surprescription 


 



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