L'évolution de la violence conjugale et des rapports de force dans les relations 
Sofia Portillo Kheir
Meriem Nesrine Bouhitem
anabelle Barbosa
raphaelle cypihot
17e mise à jour opérée jeudi 27 février 2025 sur la section biblio.
DESCRIPTION  Les rapports de force et de domination au sein d'une relation amoureuse ont beaucoup évolués. Certaines attitudes et gestes comme le non respect du consentement et la violence conjugale qui étaient autrefois normalisés sont de nos jours considérés comme toxique. Il y a une centaine d'années, les femmes n'étaient pas entendues sur un sujet qui était considéré comme tabou. Depuis, plusieurs mouvements féministes ont fait pression pour obtenir plus de droits, comme les suffragettes qui refusaient de payer leurs impôts, en manifestant et en faisant de la désobéissance civile. Entre temps, la seconde vague de féminisme, dans les années 1980, accorde aux femmes plus de possibilités dans leurs quotidiens comme l'égalité des sexes dans l'éducation et dans l'emploi, l'avortement et la fin de la violence envers elles bien que celle-ci persiste encore dans plusieurs relations. Maintenant elles ont l'aide des réseaux sociaux, qui donnent la chance à des mouvements de dénonciation de se créer, comme le #metoo, qui encourage plusieurs femmes à s'exprimer sur leur vécu. Dans le cadre de notre recherche, nous mettrons en valeur le non-respect du consentement à travers les années et de l'impact des mouvements d'accusation, en particulier le #Metoo.
RECENSION DES ÉCRITS 
L'évolution de la violence conjugale et des rapports de force dans les relations fait référence à la manière dont les dynamiques de pouvoir et de domination au sein du couple ont changé au fil du temps. Historiquement, les relations conjugales étaient souvent marquées par des rapports de pouvoir inégaux où l'un des partenaires, généralement l'homme, exerçait une forme de contrôle sur la femme. Au fil des décennies, les mouvements féministes et les changements sociétaux ont permis une prise de conscience croissante, ce qui a entraîné des évolutions sociétales. Malgré les avancées législatives et les discours progressistes, la violence conjugale continue d'affecter de nombreuses victimes, c’est la raison pour laquelle ce sujet reste crucial à aborder dans le contexte actuel. Une meilleure compréhension de ces dynamiques est nécessaire pour mettre en place des stratégies de prévention et de soutien. De plus, ce phénomène n'est pas seulement une question de violences physiques ou psychologiques, il touche également à des enjeux sociaux, culturels et politiques qui façonnent les interactions entre les sexes. D’ailleurs, l’inégalité de genre est au cœur de ces rapports de force et le silence qui persiste sur celles-ci alimente et perpétue les violences conjugales. Cet état de la question s'interroge donc sur différentes perspectives telles que la légitimation patriarcale, la pulsion d’emprise qu’un humain peut ressentir, la théorie de l'attachement qui explore les liens émotionnels formés dès l'enfance et enfin, les mobilisations féministes des années 1970 qui ont permis d’amener la reconnaissance de la violence conjugale comme une question sociale légitime.
Pour commencer, le sujet de la violence conjugale a beaucoup été étudié et ce, par divers auteurs. Tous la définissent comme un ensemble d'abus physiques, émotionnels, psychologiques, sexuels et économiques. Cependant, de nombreuses études tentent de clarifier les différents types de violence conjugale, car certains, comme l'abus psychologique, peuvent être plus difficiles à identifier. Ces abus sont tout autant destructeurs, juste plus subtils. Les publications étudient les dynamiques de pouvoir entre les partenaires et comment la violence, souvent systématique et répétitive, peut évoluer au fil du temps. En général, les livres, les articles et les sites web s'intéressent beaucoup aux facteurs sociétaux et culturels qui influencent la violence conjugale. On parle ici des normes de genre, des rôles traditionnels dans les relations et des attentes sociales autour de la masculinité et de la féminité. De nombreuses recherches montrent comment les attentes sociales renforcent les rapports de force inégaux dans les couples et comment ces rapports sont causés par des structures patriarcales ou des stéréotypes de genre. D’ailleurs, c’est le thème principal que les auteurs du livre « La violence conjugale, entre vécu et légitimation patriarcale » ont évoqués. En effet, Lelaurin (2022) et Fonte (2022) parlent de ce phénomène qui est directement lié à celle-ci puisqu’il perpétue les rapports de domination entre les sexes. Puisque l'homme est traditionnellement vu comme le détenteur du pouvoir, cette légitimation est ancrée dans les normes sociales et culturelles et contribue à maintenir la violence conjugale en normalisant les comportements abusifs et en disqualifiant les victimes. Selon Lelaurin et Fonte, comme nous avons trop longtemps cru que c’était normal pour les hommes d’agir ainsi, que la solution était simplement d’accepter ces actes violents et de rester silencieuses, la violence conjugale perdure, les structures patriarcales restent en place et les stéréotypes de genre ne sont pas véritablement remis en question. Le livre débute avec la préface de l’écrivaine américaine Dorothy Allison, qui est une victime d’abus physique : « J’ai grandi dans la pauvreté, la haine, victime de violences physiques, psychologiques, et sexuelles, et je sais que souffrir ne rend pas noble. Cela détruit. » (Dorothy Allison, 1999) À la suite de ce témoignage, la psychanalyste Laurie Laufer (2022) théorise le sujet en féministe. Selon Laufer, nous devons exécuter de la psychologie féministe ce qui consiste à déconstruire les rapports de pouvoir patriarcaux, à remettre en question les discours dominants et à analyser les systèmes d'oppression qui les perpétuent. (P.7-9) Après la préface vient l’introduction où Lelaurin et Fonte introduisent les sujets de chacun de leurs chapitres à venir. (P. 11-34) Le chapitre 1 porte sur les enjeux politiques et scientifiques de la violence conjugale. Lelaurin et Fonte écrivent sur la vision de la violence conjugale et des rapports homme-femmes où avant les années 1970, elle n’était pas considérée comme un problème de société, mais plutôt comme une affaire d’ordre privée souvent occultée. On mentionne aussi que : « C’est avec les mouvements féministes de la seconde vague que commence l’histoire de la théorisation et de la reconnaissance de la violence conjugale comme problème structurel qui traverse l’ensemble de la société » (Delage, 2017). Le chapitre couvre aussi les facteurs influençant la recherche d’aide par les victimes en ajoutant beaucoup de statistiques. (P.35-59) Le chapitre 2 porte une autre direction, celle du cadre épistémologico méthodologique. En bref, il résume les idéologies qui ont participé à l’évolution négative des rapports hommes-femmes tels que le sexisme et les mythes. (P.61-90) Le chapitre 3 parle de la psychologisation à la légitimation de la violence conjugale, comment les victimes se font manipuler au point où elles acceptent de se faire traiter de la sorte ? (P.91-118) Le chapitre 4 traite ensuite de la légitimation patriarcale du système face à la violence. C’est le thème principal du livre donc il couvre toutes les normes sociales et les logiques conditionnelles. (P.119-149) Le chapitre 5 porte sur l’amour romantique, un concept qui n’était pas présent avant et qui a grandement affecté la vision de l’amour en général pour les gens. (P.151-168) Le dernier chapitre du livre et le sixième par conséquent évoque la représentation du couple et des expériences vécues de violence. Des femmes se prononcent sur le profil de leurs agresseurs et qu’est-ce qu’ils ont en commun ? (P.169-208) Ce livre est donc extrêmement pertinent pour notre recherche puisqu’il couvre énormément d’aspects et de sujets différents. On parle surtout de la légitimation patriarcale qui est un facteur très déterminant dans la lutte contre la violence conjugale. Ce facteur nous aide à comprendre pourquoi l’évolution est si difficile, pourquoi les normes sont sociales sont ainsi. https://cairn-clanaudiere.proxy.collecto.ca/la-violence-conjugale-entre-vecu-et-legitimation-p--9782804720278?lang=fr. Le deuxième thème couvert par les articles et les sites web est la théorie de l’attachement. L’article de Gosselin (2005), Lafontaine (2005) et Bélanger (2005) intitulé « L'impact de l'attachement sur la violence conjugale : état de la question » s’attaque à ce concept. L’objectif des auteurs est de repartir de l’enfance pour comprendre le cerveau des agresseurs. Le plan de l’article se divise ainsi : Violence conjugale, théorie de l’attachement, attachement et violence conjugale : recherches empiriques, limites méthodologiques et enfin, pistes de recherches futures. Premièrement, l’article tente de définir la violence conjugale en rassemblant l’opinion de plusieurs chercheurs et en démontrant que c’est un problème plus commun qu’on le pense. Straus et Sweet (1992) et Lafontaine et Lussier (2005) auraient fait plusieurs études menant à ce résultat, il y aurait entre 64,5 % et 74 % des femmes qui auraient vécu au moins une forme de violence psychologique dans les douze derniers mois. L’article continue et discute ensuite du thème principal, la théorie de l’attachement. Cette théorie provenant de John Bowlby (1969, 1973, 1980) et, par la suite poussée par Mary Ainsworth (Ainsworth, Blehar, Waters, Wall, 1978) conceptualise l'attachement entre un parent et son enfant comme un mécanisme de régulation visant à garantir la sécurité de l'enfant. En gros, l'enfant exprimerait des émotions, telles que la colère, pour signaler à son parent que son système d'attachement est en action, indiquant que ses besoins affectifs ne sont pas satisfaits. Et cet attachement se poursuivrait à l’âge adulte et se transfèrerait dans les relations conjugales violentes. L’article poursuit en expliquant comment l'attachement d'une personne peut être lié à sa propre violence psychologique et physique. Ensuite, elle parle de l'impact de certains facteurs qui influencent la relation entre l'attachement et la violence. Finalement, elle explorera comment l'attachement d'un partenaire peut affecter la violence de l'autre partenaire dans une relation. Cet article nous intéresse puisqu’il nous pousse à comprendre pourquoi les agresseurs posent ces actes, d’où ça provient et comment ils pensent. https://shs.cairn.info/revue-bulletin-de-psychologie-2005-5-page-579?lang=fr#s1n5 Le prochain thème étudié en lien avec les relations toxiques est la pulsion d’emprise et l’article de revue « Violences toxiques » entrent en matière sur ce sujet. Gaudriault (2018) désire parler davantage des relations toxiques et de l’emprise de celle-ci en divisant le tout avec 9 sous-aspects : Intoxication physique et psychique, des relations toxiques, la pulsion d’emprise, l’emprise culturelle : gémir en beauté, l’hyperconnexion comme emprise toxique, du modèle de l’intoxication/saturation à l’addictologie, intoxication et éthique de la belle vie,la réduction des risques et des dommages et toxicité de la honte. Comme nous pouvons le constater, l’article porte principalement sur la toxicité et l’emprise que les agresseurs ont à l’égard des victimes. On parle plus profondément du sujet et particulièrement de la pulsion d’emprise, une idée que Freud a introduite à partir de 1915. Elle serait distincte de la pulsion sexuelle, qui se manifeste souvent par des actes de cruauté chez l'enfant. Cette pulsion ne prend pas en compte la souffrance de la victime et peut perdurer à l'âge adulte. Dans ce cas, l’autre devient une sorte de double narcissique, soumis à l'influence du pervers. L’emprise du pervers est d’autant plus forte lorsque l'autre porte une blessure psychique accompagnée de honte, car le pervers sait repérer cette faiblesse pour en tirer profit. L’angle de cet article nous interpelle puisqu’une des raisons pour laquelle l’évolution des rapports entre l’homme et la femme ont pris autant de temps à évoluer et ne sont même pas encore égaux à ce jour est le manque de dénonciations. Trop de femmes sont restées sous l’emprise de leurs maris, dans la peur et le silence. https://shs.cairn.info/revue-psychologues-et-psychologies-2018-2-page-007?lang=fr#s1n4 Le dernier thème qu’on retrouve souvent dans les recherches en lien avec notre sujet est les mouvements féministes des années 1970 qui ont joué un rôle clé dans la reconnaissance de la violence conjugale comme une problématique sociale légitime. En effet, les femmes qui se sont mobilisées pour leurs causes ont contribué à modifier les pensées de la société et à changer le rapport qu’elles avaient envers les hommes. On parle de ceci dans le roman de Pauline Delage (2017), « Violences conjugales » qui parle de comment les femmes se sont battues pour en arriver jusqu’à aujourd’hui. Le chapitre 1 s’intitule « De l’oppression des femmes aux violences », il parle des années 70, de la prise de conscience de la violence conjugale et de son rôle social qui marque un tournant majeur, car elle rompt avec les conceptions antérieures. Cette prise de conscience fait suite aux luttes pour les droits reproductifs et sexuels et s'inscrit dans le slogan « le personnel est politique », selon lequel le viol devient une clé de compréhension d'autres formes de violence. En France et aux États-Unis, les mouvements féministes identifient le viol et les violences conjugales comme des mécanismes de contrôle et de domination masculine, s'exerçant jusque dans l'intimité des femmes. (P.19-60) Le chapitre 2, lui, parle de la cause militante au travail. Depuis la fin des années 1970, les travailleuses des associations féministes offrent un soutien aux femmes victimes de violence conjugale en s’assurant d’être présentes au téléphone en permanence, en organisant des entretiens individuels ou collectifs, en les accompagnant dans leurs démarches administratives et juridiques et en leur proposant parfois un hébergement. Ensuite de cela, au début des années 1980, ces associations ont développé des structures plus stables et organisées pour mieux soutenir ces femmes. (P.61-112) Le chapitre 3 s’attaque à un autre sujet, légitimer le problème public. Delage explique que, en France et aux États-Unis, les associations issues des mouvements féministes ont joué un rôle majeur dans le changement des politiques publiques contre les violences faites aux femmes. En effet, travailler avec les forces de l'ordre, les magistrats, les médecins et les responsables politiques n'est pas une nouveauté. Dès le départ, les militantes féministes ont cherché à influencer ces institutions pour renforcer leur action. Cependant, les institutions n’ont pas toujours voulu s’en mêler et leur rôle a évolué avec l'institutionnalisation du traitement de la violence conjugale et des associations elles-mêmes. Aujourd'hui, ces associations collaborent avec divers acteurs institutionnels et cela aide énormément. Delage souligne aussi que la centralisation des pouvoirs et les systèmes juridiques ont façonné les stratégies des militantes. D'une part, grâce à leur action, des politiques publiques ont été mises en place ; d'autre part, localement, les actrices des associations continuent d’agir contre la violence conjugale. Les processus d'institutionnalisation modifient non seulement la cause militante, mais aussi les groupes qui la soutiennent. (P.113-168) Le chapitre 4, ainsi que le dernier, s’exprime sur la vision des femmes à l’égard des hommes. Les militantes ont insisté sur le fait que cette violence est une forme d'agression masculine à l'encontre des femmes, ce qui est un reflet d'une inégalité de genre. Cependant, cette vision est remise en question dans le débat public, notamment avec l'argument des hommes victimes qui tentent de délégitimer l'approche féministe. Ce débat réside en partie dans l’ambiguïté de la relation entre violence et genre. Une analyse genrée de la violence conjugale comprend deux aspects : d'abord, le fait que les femmes sont plus souvent victimes que les hommes, et ensuite, que cette violence s'inscrit dans une relation de domination. Cela distingue la violence conjugale d'un simple conflit, car elle implique un contrôle et des violences répétées. (P.169-224) Ce livre apporte beaucoup à notre recherche puisqu’il aborde une des causes concernant l’évolution positive du rapport homme-femme. Beaucoup d’autres sources nous expliquent pourquoi le changement est si long à arriver, mais ce livre nous dévoile pourquoi il y a du changement et grâce à qui, à quoi. https://shs.cairn.info/violences-conjugales--9782724620351?lang=fr
En conclusion, nos recherches sur la violence conjugale et les rapports de pouvoirs dans les relations hommes-femmes nous ont menés à quatre thèmes qui reviennent beaucoup soit la légitimation patriarcale de cette violence, la pulsion d’emprise des agresseurs narcissiques envers la femme, la théorie de l'attachement qui débute dès l'enfance et enfin, les mobilisations féministes des années 1970 qui ont aidé la cause. Si tous ces aspects se retrouvent dans notre recherche, en revanche, celui de l’évolution législative des relations toxiques n’est pas très abordé. La plupart des articles se concentrent sur les normes de la société, le caractère typique des agresseurs, les femmes militantes, mais les lois qui ne sont pas en faveur des femmes mériteraient plus de recherche. On devrait plus s’attarder aux changements dans les lois et les politiques publiques concernant la reconnaissance, la prévention et la répression de la violence au sein des couples. Ces évolutions législatives sont essentielles, car elles traduisent l'engagement des États à reconnaître et à lutter contre ce phénomène en constante évolution. Par exemple, la loi de 1992 a permis de mieux protéger les victimes en créant des ordonnances de protection. Plus récemment, la loi du 3 août 2018 a renforcé la lutte contre les violences conjugales en mettant en place des mesures comme les bracelets antirapprochements pour les auteurs de violences et aussi des sanctions renforcées pour les auteurs de violences. Cependant, la législation évolue souvent lentement et les réformes peuvent être perçues comme réactives, c'est-à-dire qu'elles interviennent après de longues luttes sociales et politiques, ce qui ne permet pas toujours une analyse approfondie des changements législatifs dans les recherches académiques. De plus, l'approche législative peut être complexe, car elle varie d'un pays à l'autre ou d'une région à l'autre, ce qui rend difficile la comparaison et l'analyse des progrès législatifs au niveau global.
PROBLÉMATIQUE  Bien que nos articles ont parlé majoritairement du féminisme et des relations de couple, un sujet qui n’a pas été traité ou abordé est l’évolution législative des relations toxiques. Nous nous posons par conséquent la question suivante: comment a-t-elle permi de dénoncer les comportements de violence conjugale autrefois banalisés et considérés comme “normaux”? Plusieurs facteurs pourraient l’expliquer, comme le mouvement Metoo en 2017, la prise de conscience de l’État sur l’importance de ce problème et l’avancée de la montée du féminisme. L’évolution des lois sur les relations toxiques a-t-elle permis de mieux reconnaître et de mieux dénoncer les violences conjugales qui étaient autrefois banalisées, en protégeant plus les victimes et en sensibilisant la société.
DESCRIPTION DES CONCEPTS  Lorsque nous parlons de relations toxiques, nous entendons des situations où un partenaire se fait contrôler, manipuler ou subit des violences, que ce soit par des mots ou physiquement.
Lorsqu'on parle d'évolution législative, nous voulons montrer et expliquer qu’il y a des mesures qui pourraient venir en aide aux victimes. Ces lois sont aussi utiles à mettre en cause les criminels et les comportements qui nuisent à la relations.
Lorsque nous parlons de violences conjugales, il s’agit de toutes actes violents commis par un partenaire contre son conjoint, qu’il s’agisse de blessures corporelles, psychologiques ou sexuelles.
Lorsqu’on parle de banalisation, nous voulons dire que plusieurs actes sont considérés comme banals, normaux ou ordinaire. Ils sont souvent minimisés et ne sont pas pris au sérieux.
Par la dénonciation, c’est le fait de dénoncé ces actes toxiques au public, elle permet de s’exprimer et de demander des changements.
Par la protection des victimes, nous voulons dire tout ce qui concerne les mesures mises en place pour la sécurité de ces victimes. Par exemple, les refuges et l'aide juridique.
La sensibilisation, c'est tout ce qui vise à informer les gens et à changer les idées sur la violence conjugale.
PLAN  Détaillez sous forme de table des matières le schéma conceptuel (plan) de votre recherche en identifiant les CONCEPTS, les DIMENSIONS et les INDICATEURS :
1. VARIABLE INDÉPENDANTE 1 .1 DIMENSION 1 1 .2 DIMENSION 2 1 .3 DIMENSION 3, etc..
2 VARIABLE DÉPENDANTE 2 .1 DIMENSION 1 2 .2 DIMENSION 2 2.3 DIMENSION 3, etc...
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