L’évolution de la prise en compte de la maladie mentale dans le système de justice BIBLIOGRAPHIE
Justine Alary
BLATHIER, Catherine. Psychologie des comportements criminels : évaluation et prévention, Malakoff, DUNOD, 250 pages.
Catherine Blatier, professeur de psychologie ainsi que directrice du laboratoire de recherche en psychologie à l’université de Grenoble II, nous parle dans son ouvrage intitulé Psychologie des comportements criminels, des facteurs psychologiques spécifiques à l’étude des comportements criminels, des facteurs utiles pour une meilleure prise en charge de ces comportements ainsi que du point de vue en psychocriminologie à travers des travaux de recherches scientifiques. Grâce à son expertise dans le domaine de la psychologie et de la recherche, l’ouvrage de Catherine Blatier ne peut être plus fiable et intéressant pour notre travail de recherche qui se porte sur l’évolution de la prise en compte de la santé mentale dans le domaine de la justice puisqu’il nous permet d’identifier les causes et conséquences suivant les comportements criminels. L’ouvrage contient en bibliographie, 24 pages de multitudes de sources comprenant plusieurs thèses de doctorat dans le domaine de la psychologie criminelle. Pour conclure, l’expertise de l’auteure ainsi que la vaste bibliographie de l’ouvrage me permet d’affirmer sa fiabilité ainsi que sa pertinence pour notre travail de recherche.
Laurence Séguin
Sénéchal, C. (2017). Les troubles mentaux dans le système
de justice criminelle : réflexion sur le traitement d’une clientèle vulnérable. Édition Yvon Blais
Carole Sénéchal est détentrice de deux doctorats sur l’autisme et la santé psychologique respectivement. Elle étudie pour ses doctorats à l’université du Québec à Montréal et à l’université de Montréal ou elle obtient aussi sa formation en droit. Cet œuvre est l’un parmi plus 135 autres publications scientifique à son actif. Ce livre portant sur la réalité de la santé mentale au sein du crime québécois contiens plusieurs descriptions de lois portant sur cette réalité et des courts exemples. Cet écrit scientifique possède une bibliographie simple et concise de dix-neuf pages en plus d’une introduction et conclusion pour rappeler les faits aborder sur le sujet clairement. cet ouvrage va permettre a notre recherche d'établir chronologiquement la prise en compte légale des troubles manteaux des délinquant ce qui est un atout important pour répondre a notre problématique.
Ishana Sharma
Larose, S et Fondaire, M. (2011) Détresse psychologique en situation de crise (2e éd.). Les éditions Quebecor
Résumé :
Suzanne Larose, diplômé en psychoéducatrice avec la détention d’un diplôme d’études supérieurs en administration des affaires sociales, ainsi que Marie Fondaire, licencié en psychologie et sciences de l’éducation décrive l’importance des services en intervention de crise lors de troubles psychologiques dans leur ouvrage Détresse psychologique en situation de crise. En effet, ce livre est fiable dû à sa riche médiagraphie et l’expertise de ses auteurs en psychologie. Les autrices abordent l’origine des interventions des crises en exprimant l’importance de cette prise en compte et l’arrivée de certaines lois pour aider les gens en crise. Ce livre sera pertinent dans notre recherche de l’évolution de la prise en compte de la santé mentale dans le système de justice, car il va nous permettre de bien comprendre l’évolution de la santé mentale ainsi que la loi établie.
Katia Krireche
Montandon, C. (1981) . Justice et psychiatrie : origine et développement de leurs relations à Genève. Revue interdisciplinaire d'études juridiques, Volume 7(2), 73-102.
Cléopâtre Montandon est une experte possédant une vaste expérience académique. Elle a étudié dans plusieurs grandes universités, telles que celles de Montréal, Genève et Columbia à New York. Son parcours déborde d’expertise dans des sujets tels que la sociologie, l’anthropologie et la psychiatrie. Mais plus particulièrement, elle a été chargée de cours, puis professeure ordinaire à la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de l’Université de Genève (1984-2002). Montandon traite de l'évolution de la perception des troubles mentaux, soulignant comment, dans l'Antiquité, ces troubles étaient vus comme somatiques et traités physiquement. Les criminels étaient considérés comme possédés ou hérétiques. L'auteur montre ensuite comment la compréhension des troubles mentaux a évolué, influençant les jugements judiciaires concernant les criminels souffrant de troubles mentaux. Cet article nous sera d’une très grande aide, notamment à cause des retours dans le passé qu’elle fait pour appuyer ses arguments, ainsi que pour sa fiabilité incontournable, puisqu'elle donne des noms d’articles comme l’article 64, des noms de lois, des exemples ainsi que des passages d'experts qui se sont exprimés sur le sujet, comme le Dr Pélissier, expliquant son point de vue sur un sujet. En tenant compte de ces faits., je suis donc un peu plus sûr de la fiabilité de cet article.
Justine Alary
MOULIN, Valérie, Sheilagh Hodgins. "Le nouveau défi des services destinés aux personnes présentant un premier épisode de psychose : Intégrer des interventions pour prévenir et réduire les agressions physiques", Santé mentale au Québec, (22 Novembre 2022), Vol 47(1), p.89-107.
Cet article de revue présente des résultats d’études scientifiques afin d’inciter les services en santé mentale à prévenir les comportements d’agressions physiques, à côté du traitement des troubles psychotiques. Cet article contient une recension de plusieurs études scientifiques ce qui nous permet d’obtenir beaucoup d’informations fiables et variés.Sheilah Hodgins détient un doctorat en psychologie et est professeure dans le département de psychiatrie et d’addictologie de l’université de Montréal. Sa collègue, Valérie Moulin, est Maître de conférences à l’institut de psychiatrie légale ainsi qu’au centre de psychiatrie du centre hospitalier universitaire vaudois de l’université de Grenoble-Alpes. L’article contient une forte fiabilité dû à ses nombreuses sources et à la crédibilité des auteures. Son contenu sera pertinent pour notre recherche puisqu'il contient de l’informations sur la liaison entre la santé mentale et la criminalité.
Ishana Sharma
Commission de la santé mentale du Canada. (2020) La santé mentale et le système de justice pénale : « Ce que nous avons entendu »
Résumé :
La commission de la santé mentale du Canada est une organisation nationale qui a pour but d’améliorer le système de justice. Dans leur rapport La santé mentale et le système de justice pénale : « Ce que nous avons entendu », ils expliquent que la santé mentale dans le système de justice doit être améliorer. Ils mettent l’accent sur le fait qu’il y a encore beaucoup d’injustices face aux gens en détresse avec la justice et qu’il y a plusieurs éléments à modifier, puisque le système est mal outillé face à leurs besoins. Cette source est fortement pertinente dans notre recherche de l’évolution de la prise en compte de la santé mentale dans les systèmes de justice, puisqu’elle nous permet de comprendre les problèmes actuels que vivent dans notre société à ce niveau. D’autant plus, cette source est extrêmement fiable en raison de sa méthodologie rigoureuse et sa médiagraphie variée.
Ishana Sharma
Bernheim, E., Ouellet, G., Pariseau-Legault, P. Et Sallée, N. (2022). Surveiller, contrôler et traiter : le consentement aux soins à la Commission québécoise d’examen. Santé mentale au Québec, Vol. 47(1), 111-128
Résumé :
Cette recherche provient de plusieurs auteurs qui sont tous des professeurs de plusieurs départements. Emmanuelle Bernheim, est une professeure titulaire dans la section de droit civil, Guillaume Ouellet est un professeur associé dans le département de travail social, Pierre Pariseau-Legault est un professeur agrégé dans le département de science infirmières et Nicolas Sallée est également un professeur agrégé dans le département de sociologie. Ses auteurs nous informent sur les détails des lois mise en place pour les individus souffrant de maladie mentale qui sont jugés criminellement non responsable. Également, ils abordent le fonctionnement donc les traitements, les procès et les établissements liés avec cette loi. Ceci est très pertinent pour notre recherche, puisque la loi de la non-responsabilité criminelle est au cœur decelle-ci, soit l’évolution de la prise en compte de la santé mentale dans le système de justice. De plus, cette source est fiable, puisque que cette recherche provient de la revue périodique la Santé mentale au Québec qui a des connaissances riches et une méthodologie précise.
https://www.justice.gc.ca/fra/pr-rp/sjc-csj/sjp-jsp/rr06_1/p1.html
Justine Alary
CANADA, GOUVERNEMENT DU CANADA. Les systèmes de commissions d'examen au canada : Survol des résultats de l'étude de la collecte de données sur les accusés atteints de troubles mentaux, Service Canada, 2022-08-26 (dernière modification), 51 pages.
Les informations données dans ce site proviennent d'études effectuées par des recherchistes expérimentés dans le sujet de la psychologie criminelle. Chaque sources sont cités à la fin du document. C'est aussi un document gouvernementale ce qui augmente sa fiabilité. Celui-ci démontre plusieurs études sur les accusés de crimes étant atteint de maladies mentales grâce à des statistiques précises. Ces informations sont pertinentes pour notre travail de recherche puisque qu'elle touche exactement notre sujet : la maladie mentale dans le domaine de la justice. Il y a également des archives datant de 1995 suivant l'évolution de ce sujet ce qui est 100% pertinent pour nous.
Laurence Seguin
Bichet, C., Moncany, A-H. (2022). Le psychiatre face à l’irresponsabilité pénale pour trouble mental : concepts, enjeux, perspectives. L'information psychiatrique, Volume 98(2), 99-106.
Clémence Bichet et Anne-Hélène Moncany ont un doctorat en psychologie, en France. Leur article porte sur l'irresponsabilité pénale et l’intervention médicale mise en place. Elles abordent également une description des améliorations mise en place suites aux lois de la santé mentale au sein de la justice pénale. D’autant plus, elles expliquent comment les criminels font leur parcours au milieu de ce système avec les traitements utilisés. Cette source est fiable dû à leurs bibliographie complète et leurs données pertinentes en lien avec leur problématique. Cet article est pertinent pour notre recherche de l’évolution de la santé mentale au niveau juridique, puisque cela décrit la réalité d’aujourd’hui et comment elle est appliquée dans notre société.
Laurence Seguin
Bernheim, E. (2022). L’internement psychiatrique au Québec. Du Grand Renfermement à la gestion des risques, l’histoire d’une sur-judiciarisation. Revue interdisciplinaire d'études juridiques, Volume 88(1), 135-160.
Emmanuelle Bernheim est professeure titulaire à la Section de droit civil de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa. Une partie de son article décrit la réalité de l’évolution de la santé mentale judicaire. Son analyse débute au Canada, lors de la fin du Moyen-Âge, quand c’était encore un territoire français. Elle explique comment la folie était traitée autrefois, notamment par des internements. Cette source est fiable puisqu’elle a une riche médiagraphie et des données empiriques. Cela est pertinent dans notre recherche de l’évolution de la santé mentale dans le système de justice, puisqu’elle parle de comment le traitement de la folie a évolué, ce qui concorde parfaitement à notre recherche.
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