Les idées des philosophes des lumières nous ont montrés que l’être-humain peut être libre de ses propres choix, le rendant responsable de tous ses actes. Or, de nombreuses études scientifiques prouvent que les troubles mentaux peuvent être une contrainte face aux décision prises par celui affecté. L’arrivée des diagnostiques en santé mentale expriment que dans certains cas, l’être humain peut commettre des actes à cause de problèmes psychologiques. Depuis quelques années, la maladie mentale est de mieux en mieux traitée et plusieurs lois ont été établis afin d’exprimer la non-responsabilité criminelle dans les cas de troubles mentaux. Cette problématique est de plus en plus actuelle lorsqu’on observe la hausse de présence de trouble de santé mentale lors d’actes criminels. En effet, 12% des hommes et 17% des femmes purgent des peines criminelles avec des critères de problèmes psychologiques grave, selon la commission de la santé mentale du Canada. Alors, il est important de s’intéresser à l’évolution de la prise en compte de la maladie mentale dans le système de justice.
Les logiciels Projet, SuSu et Marion corrige! sont la propriété de Gilles Laporte et du cégep du Vieux Montréal. Toute adaptation ou reproduction du matériel qui y est diffusé est interdite sans le consentement formel du responsable du portail. © 2010-2020.